Les Groupes

Courtisans du sultan, ce sont les personnes les plus riches de la capitale. Ils ont un rôle dans la gestion du sultanat, car certains sont les conseillers du sultan, et d’autres sont des militaires.

Certains nobles peuvent connaître une évolution dans l'échelle sociale. Seul la Grande Divinité peut choisir qui va grimper dans l'échelle, il n'a qu'une exigence dans son choix, que les nobles aient plus d'un mois d'ancienneté. Il se peut aussi, qu'il propose une évolution véreuse, que le noble paie pour faire partie du cercle supérieur.Ils ont un rôle essentiel au palais, ils se chargent de l’entretien, de la cuisine, bref, toutes les petites tâches qui facilitent la vie au quotidien des habitants. Ils peuvent venir de la ville, des campagnes, ou bien, ce sont d’anciennes roses qui n’ont pas voulu quitter le palais.Ils constituent la majorité de la population de Régalia. Ils travaillent toutes leur vie pour réussir à survivre. Il arrive que certains d’entre eux deviennent riche, et encore plus rare, gagner leur lettre de noblesse.

Nés des éléments eux-mêmes, ce sont des esprits dit élémentaires qui détiennent leur pouvoir de l'élément duquel ils sont nés, tel que : eau, air, feu, terre, métal, bois, matière, esprit, lumière et l’ombre. Comme chez tous les êtres, il y a de bons et de mauvais djinns mais si c'était aussi simple, tout serait bien plus facile. Dans ce monde, il s'avère que les "mauvais" djinns ne sont en fait que des djinns conservateurs, considérant l'espèce humaine comme une plaie ravageant la terre, ils se désignent sous le nom de "Light Djinn". Et ceux désignés comme étant de "bons" djinns sont ceux qui se sont rebellé contre ce conservatisme, isolant leur espèce de leur monde d'origine et des êtres humains. En tant que rebelles, ils sont désignés comme les "Dark Djinn" par leurs congénères conservateurs, jugeant que leur esprit est obscurci.

Cependant, les uns comme les autres peuvent créer un lien avec un humain, qu’ils jugent digne d'eux, pour cela, l’élu doit réussir une épreuve concoctée par le djinn. Le lien en question se fait par la signature d’un contrat, grâce une goutte de sang en bas, celui-ci se symbolise par un nœud celtique au creux du poignet droit chez le djinn, quant à l'humain, un tatouage représentant son djinn prend place sur son corps. Le motif et l'emplacement est propre à un djinn, par exemple, on ne verra jamais deux flèches bleues sur le biceps gauche. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’humain apprend le vrai patronyme du djinn, qui reste un secret entre les deux. Ce nom ne peut être servi qu'en dernier recours, par exemple, si le djinn devient berserk (combattant enragé ayant perdu tout contrôle de lui-même).
Bien entendu, comme tout contrat, il y a un revers afin d'entretenir le lien créer entre le Djinn et son contractant. Les Light Djinn, jugeant les humains comme étant une nuisance dont il serait bon de se débarrasser, demandent un certain nombre de jours, mois ou années de vie à leur contractant pour chaque utilisation de leur pouvoir alors que les Dark Djinn se contentent de l'équivalent d'une petite quantité de sang de sang.

Un autre point est cependant à ajouter, il faut savoir que les djinns ne passent pas tout leur temps à côté de leur contractant, ils ont leur propre vie et peuvent également rejoindre leur élément d'origine, se fondant en lui pour se régénérer, se reposer... Afin de pouvoir invoquer son djinn, l'humain se voit remettre un pendentif sous forme de pierre précieuse représentant l'élément du djinn, il lui suffit pour ça de prononcer son nom.

Un djinn ne peut pas mourir de la main d’un humain. Et quand leur contractant meurt, le djinn est libéré de son contrat, et ainsi, se voit libre de rejoindre son élément définitivement ou de reformer un contrat avec un autre humain.
Cependant, un humain peut contraindre un djinn dans un contrat sans lui laisser la possibilité de rejoindre momentanément son élément pour se ressourcer ; pour cela, il utilise un collier qui lie les pouvoirs de l’esprit. On ne sait pas d’où vient ce collier, mais il existe, heureusement il n’y en a pas beaucoup.

Un djinn et un humain peuvent avoir un enfant, qui est appelé « métis ». Celui-ci acquière le pouvoir de son parent élémentaire et la mortalité de son parent mortel, même si le métis vieillit plus lentement, mais son espérance de vie ne dépasse que rarement les 250 ans.

Le pays n’est pas coupé du monde, comme tant d’autres. Regalia fait des échanges avec le monde, tel que la soie, les esclaves noirs, le tabac, etc… Les marchands étrangers viennent à la foire de Kasaros une fois par mois pour faire leurs échanges.

Cependant, ils ne sont que tolérés par les régaliens, légèrement xénophobe, seulement pour leurs marchandises.
Pour créer des alliances avec d’autres gouvernements, autrement qu’avec des mariages, on envoie des ambassadeurs. Ils servent également d’espions au sultan, au cas où qu’il y a une suspicion de conflit.

Ce sont des hommes, de toutes origines sociales, qui suivent une formation militaire depuis l’âge de huit ans. De huit ans à seize ans, vous êtes considérés comme une recrue, puis, une fois que vous réussissez votre épreuve finale, vous devenez officier. A partir de là, vous pouvez atteindre le rang de commandant, il n’y en a que cinq postes, grâce à votre seul mérite, ce qui est une première à cette époque. Le meilleur Général peut espérer devenir le Général en chef, celui qui dirige toute l’armée, il porte le titre d’émir.

Certains militaires peuvent connaître une évolution dans l'échelle sociale. Seul la Grande Divinité peut choisir qui va grimper dans l'échelle, il n'a qu'une exigence dans son choix, que les militaires aient plus d'un mois d'ancienneté. Il se peut aussi, qu'il propose une évolution véreuse, que le noble paie pour faire partie du cercle supérieur.

On commence tous en tant que soldat, à une exception près. Tout les 6 nouveaux comptes, on peut faire un militaire gradé : Lieutenant, Capitaine ou Commandant.
On ne peut pas faire Général ou Emir, cela se mérite.

C’est le surnom donné aux habitants du harem. Ce sont les fleurs du jardin privé du sultan, c’est l’expression utilisé à la cour pour parler du harem. Ces roses sont des femmes et des hommes qui ont été vendu par leur famille. Une fois au harem, les roses ont le choix d’accepter ou non d’avoir des relations sexuelles avec le sultan quand celui-ci le demande, ou avec les nobles, lors des week-end portes ouvertes. Ces portes ouvertes se produisent une fois par mois, c’est le fait que le harem ouvre ses portes aux nobles, qui peuvent louer les services des roses volontaires, et des esclaves.
Une autre bizarrerie du sultanat, c’est que les roses sont rémunérés, et ceux, quelques soient ce qu’elles décident. Cependant, comme elles ont été vendu au harem, elles doivent y rester durant cinq années consécutives, au minimum. Si elles tentent de s’enfuir ou brise une règle du sultan, une année est rajoutée au compteur. Puis, elles peuvent faire une demande de libération.
On les reconnait grâce à leur collier portant une pierre rouge, avec derrière une inscription « Rose du sultan ».
Comme la prison est surpeuplée, les criminels ayant commis un crime mineur (vol, triche, escroquerie, etc…) sont envoyés au harem pour y servir d’esclaves. Ils n’ont aucun libre arbitre, et ne sont pas payés. Contrairement aux roses, ils ne peuvent rien refusés, que ce soit venant du sultan ou des nobles lors des portes ouvertes.

Ceux qui ont un comportement exemplaire peuvent voir leur peine se réduire et d’avoir de meilleures conditions de vie. A long terme, ils peuvent grimper dans la hiérarchie et devenir une rose pour dix ans. De là, ils peuvent essayer d’être libérer.